Arrens-Marsous | 65

Dans un village de montagne, de 700 habitants, quelques entrepreneurs et salariés projettent de créer un tiers-lieu. L’écoute et la proposition de la commune permettent de donner vie à ce lieu et de démontrer pour leurs initiateurs que la montagne est aussi innovante et pas uniquement une destination touristique.

Aire-sur-l’Adour | 40

Depuis deux ans, des réfugiés sont formés à la viticulture en Madiran,Tursan et Coteaux de Gascogne avec l’objectif d’une embauche. Une opération où tout le monde est gagnant, car le secteur viticole est en manque de bras. Centre d’accueil pour demandeurs d’asile, organisme de formation et employeurs réussissent ici un beau partenariat en voie de pérennisation. Notre guide pour le récit de cette aventure est agriculteur, mais aussi le formateur auprès de ces réfugiés.

Sainte Marthe | 47

Après une vie professionnelle militante dans le secteur associatif, la retraite de ce couple se devait d’être active et ouverte vers les autres. Le projet prend forme autour de chambres d’hôtes dans un moulin avec la volonté d’associer des animations culturelles, mais aussi avec force et enthousiasme, d’accueillir gratuitement des femmes malades du cancer pour qu’elles se reposent. Ses « invitées », nommées ainsi y sont reçues depuis quelques mois…

Sentous-Lahitte-Libaros | 65

En 1998, un agriculteur propose le regroupement de moyens matériels auprès d’agriculteurs de trois communes voisines. La mise en place d’une CUMA, un système coopératif qui a vu le jour en 1945, va entraîner une nouvelle organisation collective, de nouvelles façons de travailler le sol et renforcer les liens entre ses adhérents.

Auch | 32

Comment réapprendre notre relation à l’arbre, à son pouvoir sur le vivant ? Comment agir sur ce qui l’environne ? Depuis plus de 30 ans, une association accompagne des projets de plantation d’arbres, de haies champêtre et d’agroforesterie afin que les territoires puissent durablement produire et prospérer.

Moustey | 40

Des gestionnaires forestiers du massif landais ont transformé depuis plus de 20 ans leur pratique, conjuguant respect de la biodiversité et production de bois. La méthode repose sur un traitement irrégulier et respectueuse des processus naturels des écosystèmes forestiers. Rencontre avec l’un d’eux…

 

Montsaunès | 31

Depuis près de 20 ans, une commune rurale a fait le choix d’opter pour une sylviculture par régénération naturelle. Ce passage à une gestion forestière plus douce a permis de voir réapparaître différentes strates, sous bois, arbustes, biodiversité …  Elle est le résultat d’une pratique initiée par un garde forestier et de l’écoute active des élus.

Cocumont | 47

Créer un atelier artisanal de sciage du bois à partir d’essences locales et instiller d'anciens savoir-faire  sans renier la technologie, telle est la ligne de conduite de ce jeune artisan. Ingénieur de l’école supérieur du bois, le métier de scieur, il l’a appris comme apprenti mais aussi en allant recueillir l’expérience d’anciens bûcherons et scieurs.

Bordeaux | 33

Remettant en cause la manière de «faire ensemble», une coopérative abandonne le système hiérarchique pyramidal pour la gouvernance partagée, plus en adéquation avec les valeurs portées par l’ESS. Ce nouveau mode de gouvernance va donner vie à la gestion par le consentement, le partage des responsabilités, la transparence, la co-construction de la politique salariale… dans la coopérative et l’ensemble du réseau. 

Tarnos | 40

Sur une ferme agrobiologique, des femmes* placées sous le régime judiciaire en aménagement de peine apprennent l’autonomie pour construire un futur. Ce lieu transitoire entre la détention et la liberté est unique en France et en Europe. Son fondateur et directeur est un ancien détenu. A son tour, il transmet ce qu’il a reçu et qui tient en quelques mots «la société a besoin de toi». 

Bayonne | 64

S’appuyant sur un territoire, son histoire, la monnaie complémentaire locale permettrait-elle de changer de comportement, de passer à l’action localement, sans presque s’en rendre compte ? Nommée outil social, elle est au Pays Basque en progression constante, aidée depuis quelque temps par sa version numérique.

Boucau | 64

Un atelier vélo associatif uniquement voué à faire de la mécanique ? Non, ces  passionné(e)s du savoir-faire artisanal, des pièces anciennes, du graphisme… et du vélo, ont mis tout en commun pour parler autrement de mobilités douces et donner naissance à un évènement quelques mois après leur création… À parcourir à vélo.

Bournos | 64

Lors de leur formation professionnelle agricole, ils ne concevaient pas leur projet d’installation sans faire du pain.
Installés depuis 6 ans, lui, est aujourd’hui le plus souvent dans les champs, elle, les mains dans le pétrin deux jours par semaine… Une belle harmonie sur ce lieu où la vente de pain se fait à la ferme pour le grand plaisir de ces paysans boulangers.

Vézac | 24

Pensant à sa retraite, un agriculteur achète un moulin, le restaure pour y habiter. Apprenant qu’il serait en état de fonctionner, il se lance dans l’aventure. Le meunier imagine une fabrication de croisière quand, au mois de mars dernier la pénurie  de farine arrive. Le moulin devient alors une affaire de famille pour une clientèle locale.

L’Isle-de-Noé | 32

Ouvrir une jardinerie bio en prenant en compte tous les paramètres de son activité ; des serres non chauffées au déplacement sur les marchés en passant par la production de plants de fleurs avec la réintroduction de variétés oubliées comme le bleuet, si nécessaire en matière de pollinisation ; le défi est posé dans la bonne humeur et l’envie de répondre à une clientèle qui évolue.

L’Isle-Jourdain | 32

Avec une équipe municipale mobilisée en matière d’environnement, des agents de la collectivité prenant en compte de nouvelles pratiques, le soutien auprès des habitants, la commune du Gers a adopté le leitmotiv du « passage à l’action » qui se veut transversal, inclusif et joyeux.

Saint-Geours-de-Maremne | 40

Plante diabolisée, au passé économique glorieux et oublié, toujours malmenée par la législation, le chanvre refait pourtant surface pour offrir ses vertus dans tous ses usages ou presque en tant que plante cultivée, aliment, textile, papier, isolant.  Zoom sur une production avec celui qui a démarré la filière dans les Landes.

Partis à sept, ils sont aujourd’hui une soixantaine d’agriculteurs bio à rallier un point de vente qu’ils animent pour vendre leurs productions en direct. En 2006,  l’objectif de la boutique était d’y faire principalement la promotion du bio à travers un outil collectif. Quatorze ans après, le projet évolue avec la volonté d’intégrer une jeune génération pour piloter demain la coopérative.

Toulouse - 31

Festivals, fêtes communales, manifestations sportives… sont actuellement en mode pause. Pour autant les organisateurs, associatifs ou publics les préparent avec la volonté d’apporter demain des réponses plus écologiques. Dans l’objectif de favoriser ces pratiques éco-responsables sur les événements, une association en Occitanie multiplie les formations et les propositions pour les y préparer.

Losse 40

Une ancienne maison du XVIIIe, la seule du village dans les années 60 avec une télévision qui accueillait les habitants pour des soirées autour de l’écran… Soixante ans plus tard, ce même lieu réinvente l’accueil et le partage à partir de la nature. Il permet de s’y nourrir, d’y séjourner, de s’y former, de s’y retrouver lors des «hèstas » et bien d’autres choses …

Le Pizou 24

Alternative à la maison de retraite, l’accueil familial présente de nombreux avantages, coût financier moindre, stimulation du groupe et relations humaines privilégiées. Frein à son développement : le statut des accueillants en étude depuis 30 ans. Pour faciliter la proposition de ce service, des collectivités locales n’hésitent pas à construire des maisons qu’elles mettent à disposition des familles d’accueil moyennant un loyer.

Dans l’objectif de se rendre utile et se voulant fidèle à ce nouveau journalisme qui revendique l’écoute et la proximité, il est apparu comme une évidence pour ITVB de recueillir le récit des acteurs de l’ESS (économie sociale et solidaire) touchés aussi par cette crise sanitaire et qui ont nourri avec générosité le journal depuis 3 ans.

REDACTION

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